Je n’oublierai jamais







Je n’oublierai jamais

Récit-essai / 11 octobre 2023
(éditions City-Hachette)

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Attaché de presse :

Eric Poupet Presse & Communication / 06 60 49 87 05 / eric.poupet@gmail.com



à propos



Il s’agit d’amnésie traumatique. Il s’agit de prescription. D’une insoutenable double peine.

Il s’agit de raconter les conséquences dévastatrices d’un abus sexuel sur mineur dans la vie adulte.

Il s’agit d’interroger la société sur la réponse pénale, le consentement, le tabou. Le déni. Il s’agit d’analyser la situation. D’un plaidoyer pour faire évoluer la loi. D’une critique vive de la société, de nos modes de vie, de survie.

Il s’agit des abus sexuels en-dehors de la cellule familiale. Il s’agit de maintenir cette actualité d’actualité, sans arrêt. Il s’agit d’une prise de parole dénuée de notoriété, parce que le crime est banal et ordinaire.

Il s’agit de reconstruction. Et d’en finir avec la loi du silence et de l’impunité.

Il s’agit de changer de ton, avec un texte à la fois grave et léger.

Il s’agit d’1 enfant sur 5.

Il s’agit de moi, de vous, de chacun de nous.

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note d’intentions


La loi de l’oubli c’est le nom que l’on pourrait donner à la prescription. Cette loi selon laquelle un acte de nature criminelle peut tomber dans l’oubli passé un certain délai. D’un point de vue social, la prescription punit la négligence de la société et considère, qu’avec le temps, les traces d’une effraction disparaissent.

La prescription, c’est un mot, une idée, un concept. Rien de plus. Parce qu’il y a des choses qui ne s’oublient pas. Jamais. Il y a des choses qui marquent au fer rouge une existence. À jamais.

Si l’amnésie traumatique permet comme ultime ressort organique de rester en vie, de survivre à un crime, à l’intolérable, en oubliant justement, lorsque cette amnésie se conjugue à la prescription, c’est la double peine. Effacer, c’est ne pas pouvoir en parler, c’est ne pas reconnaître un fait, ni l’autoriser d’exister. C’est le nier. C’est alors que la prescription tend à commettre un second crime, celui de ne pas reconnaître le premier.

Ici je tâche d’explorer les limites d’une telle loi, lorsqu’elle vient se frotter à l’amnésie traumatique qui, par définition, oublie tout. Ou en donne l’illusion. Puisque le corps et l’inconscient, eux, n’oublient rien.

Écrire ce livre et le publier est le seul moyen que j’ai trouvé pour tenter d’échapper au couperet de la prescription.

Dans ce texte, la mémoire, l’inconscient et la société viennent tour à tour définir les limites de ce dont nous sommes responsables et de tout ce qui nous échappe, comme dans un cycle infernal qui éclaire et éteint le réel, une incessante loi de l’oubli.

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